« La vie t’as obligée à devenir une catin, T’as donc besoin qu’on te prennes la main, Pour affronter ton sulfureux et pénible destin, Qui t’affliges et te tourmenteras jusqu’à la fin;
Car tu te sens si fragile, empathique, Que tu ressens toutes les énergies, Qui t’atteignent, t’enveloppent, te piquent, Et dont tu ressens chaque parcelle de vie;
Ta vie commence à être pathétique, Tu deviens dépendante et lunatique, Chaque jour tu te sens toute électrique, Tu préfèrerais encore être mélancolique;
T’aurai tellement besoin qu’on t’aides, Mais personne n’entendrait tes cries, Ainsi, il faudrait donc que tu plaides, Pour qu’on t’entende au milieu des gens qui rient;
Ayant un égo démesuré, ils pensent par fraction, Chacun vivant sa vie par procuration, Suivant copieusement sa trajectoire à la con, Sans réfléchir, ni se poser des questions;
« Tu es née pour devenir une catin, T’aurai besoin qu’on te prennes la main,, Pour affronter ton sulfureux et pénible destin Qui t’affligeras sans cesse jusqu’à la fin. »